Peindre des poèmes Ecrire des aquarelles et donner des ailes
alavi
La suite « de la Terre vers le Ciel »
Le bouleau pour sa simplicité majestueuse, sa grâce, sa délicatesse.
Il est aussi généreux, offrant, en plus de son ombre douce, cette sève bienfaisante pour notre santé. Cette idée contribue au besoin de le présenter dans un décor et des traits épurés. La sobriété pour qu’apparaisse la lumière nue. L’arbre nu.
Pas de dessin ; seulement le pinceau et l’eau qui font le trajet de la sève descendante et la sève montante… Une énergie qui donne de la vitalité, de l’élan.
Le végétal sans la couleur verte. Quelques touches de pigments pour le volume. Le minimalisme qui donne de la force au sujet déployé comme un tout.
La suite des « miniatures haïku »
A la manière des Haïkus,
faire surgir en une économie de traits tout un paysage, une saison et les émotions associées.
la suite des « bruissements »
Ce sont là des captures de ces moments où la nature chuchote ; où on discerne des images qui demandent notre attention active, voire, un effort de mise au point de notre vision.
Il y est question de lumière et de reflets.
Il y est question d’un entraînement à faire taire notre agitation intérieure.
Le calme prend toute la place.
La suite « Wabi Sabi »
Le« Wabi Sabi » est cette conception japonaise de la beauté qui surgit de l’imperfection du façonnage par la main humaine et/ou de la nature spontanée et créative.
La sobriété et la réparation délicate sont une constante dans l’Art japonais.