A propos

peindre des poèmes

écrire des aquarelles

et donner des ailes

Les éléments et tout ce qui est élémentaire m’inspirent autant que les mouvements intérieurs des êtres, intimement liés aux premiers.

Pénétrée par le rythme et l’efficacité des haïkus – poèmes japonais en trois mouvements et dix sept syllabes-, ils résonnent en moi et structurent chaque mouvement créatif.

La force de la suggestion tout en subtilité me fascine et me guide, comme dans cette suite d’aquarelles livrant un tronc nu et brut dans lequel on percevrait le végétal palpitant.

Lorsque j’écris, c’est toujours cette même quête qui meut la pensée et la plume : saisir l’instant.

Saisir l’essence de l’instant.

Le medium le plus adapté à cette capture de l’instant m’a semblé être l’aquarelle. L’insaisissable fluidité de l’eau si libre, les effets de douceur ou de rugosité des différents grains de papier, les encres et pigments qui se nuancent en fonction des autres éléments…

L’aquarelle exige une prise de risques sans filet. Elle demande d’oser comme ose la nature qui se déploie à chaque instant, comme « la rose est sans pourquoi », a dit Angélus Silésius.

alavi –


Invitations à venir voir

Ils exposent mes aquarelles. Merci à eux ! découvrez qui et où